Brasser des affaires, malgré les soupçons de corruption

« L’Autorité des marchés financiers devient la commission des libérations conditionnelles des entreprises, parce qu’elle va décider si oui ou non l’entreprise est suffisamment réhabilitée », explique Martine Valois, professeure à la Faculté de droit de l’Université de Montréal, ajoutant qu’avec ces modifications on « enlève toutes les dents à la législation » pour lutter contre la corruption.

Ce contenu a été mis à jour le 7 septembre 2018 à 11 h 29 min.